Avi Bitton votre allié pour défendre vos droits face au licenciement “abusif” : sans cause réelle et sérieuse
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Notre expertise en licenciement sans cause réelle et sérieuse
Naviguer dans la procédure de contestation d’un licenciement sans cause réelle et sérieuse requiert une parfaite connaissance du Code du travail et des spécificités liées aux différents motifs de licenciement. Que vous ayez été licencié pour une faute inexistante ou insuffisamment prouvée, pour insuffisance de performance non objectivée ou de manière discriminatoire, nous vous aidons à déterminer si le motif énoncé par l’employeur est réel et sérieux, et s’il respecte la procédure légale, notamment l’obligation de tenue d’un entretien préalable.
- Analyse du dossier :Nous examinons minutieusement votre contrat de travail, la description de votre poste, vos éventuelles évaluations professionnelles et toutes les pièces relatives à votre emploi (courriels, attestations, etc.). Cette étape est cruciale pour vérifier que l’employeur n’a pas abusé de son pouvoir de licencier et que les motifs invoqués sont véritablement fondés et justifient la rupture de votre contrat de travail.
- Conseils juridiques personnalisés : Nous vous expliquons clairement vos droits en nous appuyant sur le Code du travail, les conventions collectives applicables à votre secteur d’activité et la jurisprudence constante en la matière. Nous vérifions également si les éléments de votre situation pourraient révéler des faits de harcèlement (moral ou sexuel), de discrimination ou un non-respect des règles de procédure par l’employeur.
- Négociation d’indemnité : Dans de nombreux cas, une négociation amiable avec l’employeur peut aboutir à une transaction prévoyant une compensation financière plus avantageuse pour le salarié que les indemnités légales. Nous nous assurons que cette transaction tienne compte de l’intégralité des préjudices que vous avez subis, notamment si vous avez été victime d’un licenciement sans motif légitime ou avec des motifs vagues et imprécis.
- Représentation devant le juge : Si une solution amiable ne peut être trouvée ou si vous souhaitez contester la décision de l’employeur devant les tribunaux, nous préparons un argumentaire juridique solide et vous représentont devant le Conseil de prud’hommes. En cas de désaccord avec le jugement rendu en première instance, nous pouvons également engager une procédure d’appel pour défendre à nouveau vos droits.
Grâce à notre expérience, nous sommes en mesure d’identifier rapidement les faiblesses du dossier de l’employeur. Nous avons notamment défendu les intérêts de salariés dans des dossiers médiatisés. Nous examinons chaque situation avec la plus grande attention afin de vérifier la régularité de la procédure de licenciement et le caractère réel et sérieux des motifs invoqués, et de vous faire bénéficier des meilleures protections juridiques.
Contactez-nous en toute confidentialité :
Plus vous nous consultez rapidement après avoir reçu votre lettre de licenciement, plus nous serons en mesure de vous conseiller efficacement et d’agir au mieux pour défendre vos droits..
Contactez-nous à titre confidentiel : le plus tôt vous nous consultez, le mieux nous vous conseillons.
En quoi consiste la procédure de licenciement ?
Le licenciement, pour être régulier, doit impérativement respecter plusieurs étapes fondamentales prévues par le Code du travail. Ces étapes incluent l’envoi d’une convocation à un entretien préalable par lettre recommandée ou remise en main propre contre décharge, la tenue de cet entretien au cours duquel l’employeur doit exposer les motifs envisagés du licenciement et recueillir les explications du salarié, puis la notification du licenciement par lettre recommandée avec accusé de réception. Au cours de l’entretien préalable, l’employeur est tenu d’exposer clairement les faits précis qui lui sont reprochés, qu’il s’agisse d’une insuffisance professionnelle caractérisée ou d’une faute dont la nature et les circonstances doivent être détaillées. Si ces allégations ne reposent sur aucun élément concret et vérifiable ou si les règles de procédure légales ne sont pas scrupuleusement respectées par l’employeur, le salarié est en droit de contester la légitimité de son licenciement devant le Conseil de prud’hommes.
Identifier les circonstances d’un licenciement sans cause réelle et sérieuse
- Faute inexistante ou non caractérisée : Si un salarié est licencié pour faute grave ou lourde sans que l’employeur ne puisse apporter la preuve des faits fautifs qui lui sont reprochés, ou si les faits, bien que réels, ne constituent pas une faute d’une gravité suffisante pour justifier un licenciement disciplinaire, le caractère abusif (en réalité, sans cause réelle et sérieuse) du licenciement peut être retenu par le juge.
- Insuffisance non prouvée : Un licenciement pour insuffisance professionnelle ou insuffisance de résultats doit être fondé sur des éléments concrets, objectifs et vérifiables, tels que des évaluations régulières, des objectifs réalistes et clairement définis au préalable, et la preuve que l’employeur a mis en œuvre des mesures d’accompagnement ou de formation adaptées pour permettre au salarié d’atteindre les objectifs fixés. À défaut, le licenciement peut être considéré comme dépourvu de cause réelle et sérieuse.
- Harcèlement : Il arrive que des salariés soient licenciés après avoir subi ou dénoncé des agissements de harcèlement moral ou sexuel. Dans de telles situations, si le licenciement est en lien direct avec ces faits de harcèlement, il est considéré comme nul et ouvre droit à une indemnisation spécifique pour le salarié victime.
- Discrimination : Un licenciement motivé par des critères discriminatoires prohibés par la loi (notamment le genre, l’âge, l’origine, l’état de santé, l’appartenance syndicale, etc.) constitue une violation des principes fondamentaux du droit du travail et est considéré comme nul.
Notre rôle est de démontrer devant le juge que les motifs invoqués par l’entreprise ne correspondent pas à la réalité des faits, sont imprécis ou insuffisants, ou qu’ils violent les dispositions légales et les principes fondamentaux du droit du travail. Nous nous attachons à prouver que la décision de licencier n’est pas fondée sur une cause réelle et sérieuse, afin de défendre au mieux vos droits et d’obtenir une juste réparation du préjudice que vous avez subi.
Une équipe pluridisciplinaire à votre service
Un licenciement que nous estimons sans cause réelle et sérieuse ne se limite pas toujours à un simple différend entre un employé et son entreprise : il peut s’inscrire dans un contexte plus large de harcèlement, de discrimination, de représailles suite à une alerte éthique ou même de faits susceptibles de relever du droit pénal. Grâce à notre expertise complémentaire en droit pénal et en droit du dommage corporel, nous sommes en mesure d’étudier toutes les facettes d’un dossier de licenciement contesté. Cette vision globale et pluridisciplinaire renforce notre analyse juridique et notre capacité à défendre efficacement vos intérêts, quels que soient les motifs réels ou apparents de la rupture de votre contrat de travail :
- Droit pénal : Nous pouvons intervenir si la procédure de licenciement dissimule des faits potentiellement répréhensibles sur le plan pénal (chantage, menaces, violences psychologiques, etc.).
- Préjudice corporel : Dans certaines situations de harcèlement moral ou de conditions de travail dégradées ayant précédé le licenciement, la santé physique et psychologique du salarié peut avoir été gravement affectée, ouvrant droit à une réparation spécifique au titre du préjudice corporel.
Notre cabinet est à Paris mais nous restons pleinement disponibles pour intervenir sur l’ensemble du territoire français. Nous connaissons les pratiques des juridictions prud’homales dans différentes régions et adaptons notre stratégie en conséquence, que votre employeur soit une PME, une multinationale ou toute autre structure.
Nous privilégions une collaboration étroite avec nos clients, basée sur la confiance et la transparence. Lorsque vous faites appel à notre cabinet, vous bénéficiez d’une assistance juridique personnalisée et réactive, depuis le diagnostic initial de votre situation jusqu’aux audiences devant les tribunaux. Notre objectif est de vous offrir un suivi de proximité, avec pour priorité de sécuriser votre avenir professionnel et financier après la rupture de votre contrat de travail.
Pourquoi choisir le Cabinet Avi Bitton Associés ?
Choisir un cabinet d’avocats compétent et expérimenté dans le cadre d’un litige de licenciement sans cause réelle et sérieuse est un facteur déterminant pour optimiser vos chances d’obtenir une issue favorable, que ce soit par la voie d’une négociation amiable ou d’une décision judiciaire. Voici plusieurs raisons qui font de notre cabinet une référence reconnue dans ce domaine :
- Réputation établie : Fort de plus de 20 ans d’existence et de plus de 4000 dossiers traités avec succès, notre cabinet a acquis une solide renommée au niveau national en droit du travail. Notre expérience couvre une vaste gamme de secteurs d’activité, des start-ups innovantes aux grandes multinationales, et nous maîtrisons les spécificités juridiques et les enjeux propres à chaque type d’entreprise.
- Excellence en droit social : Nos avocats se tiennent informés de manière continue des évolutions législatives, réglementaires et jurisprudentielles en droit du travail. De l’analyse de la lettre de convocation à l’entretien préalable jusqu’à la plaidoirie devant le Conseil de prud’hommes nous possédons une connaissance approfondie de chaque subtilité procédurale et juridique permettant d’évaluer la validité des motifs de licenciement et de défendre efficacement vos droits.
- Accompagnement complet et sur mesure : Que vous ayez été licencié pour une prétendue faute, une insuffisance de résultats contestable ou dans un contexte de harcèlement, nous vous proposons des solutions juridiques adaptées à votre situation particulière.
- Résultats concrets et indemnisation optimisée : Notre priorité absolue est de maximiser l’indemnisation que vous pourrez obtenir afin de compenser le préjudice que vous avez subi du fait de votre licenciement sans cause réelle et sérieuse. Nous n’hésitons pas à évaluer précisément l’ensemble de vos pertes (salaires, primes, avantages sociaux, préjudice moral, difficultés de retrouver un emploi, etc.) et à engager des discussions fermes et argumentées avec votre employeur ou son avocat pour parvenir à un accord transactionnel satisfaisant, ou à obtenir une décision favorable devant les tribunaux.
- Disponibilité et écoute : Nous accordons une importance primordiale à la relation avec nos clients. Chaque salarié qui nous contacte a droit à une écoute attentive, à des réponses claires et rapides à ses questions, et à une réactivité optimale de notre part. Nous maintenons un contact régulier avec vous pour vous informer de l’avancement de votre dossier et préparer ensemble chaque étape de la procédure.
En nous confiant la défense de vos droits, vous avez l’assurance de bénéficier d’un regard juridique expérimenté, d’une approche stratégique rigoureuse et d’un accompagnement humain et personnalisé tout au long de la procédure, qu’il s’agisse d’un conflit individuel ou s’inscrivant dans un contexte plus large au sein de votre entreprise.
FAQ
- Qu’est-ce qu’un licenciement sans cause réelle et sérieuse ?
Un licenciement est qualifié de sans cause réelle et sérieuse lorsque l’employeur ne justifie pas d’un motif légalement admissible et suffisamment précis pour rompre le contrat de travail, ou lorsqu’il ne respecte pas la procédure de licenciement prévue par le Code du travail. Les motifs allégués, tels qu’une faute grave ou une insuffisance professionnelle, doivent être clairement établis par des faits objectifs et vérifiables. À défaut, le salarié est en droit de saisir le Conseil de prud’hommes pour faire reconnaître le caractère injustifié de la décision et obtenir une indemnisation. - Combien de temps ai-je pour contester un licenciement sans cause réelle et sérieuse ?
En principe, le salarié dispose d’un délai de douze mois à compter de la notification de son licenciement pour saisir le Conseil de prud’hommes et contester la rupture de son contrat de travail (article L. 1471-1 du Code du travail). Toutefois, il est important de noter que ce délai peut varier dans certaines situations spécifiques (par exemple, en cas de découverte de faits de harcèlement ou de discrimination postérieurs au licenciement). Il est donc crucial de consulter rapidement un avocat dès la réception de votre lettre de licenciement afin d’analyser votre situation et d’engager la procédure dans les délais impartis si l’entreprise n’a pas respecté la réglementation. - Quelles indemnités puis-je réclamer en cas de licenciement sans cause réelle et sérieuse ?
Lorsque le licenciement est jugé sans cause réelle et sérieuse par le Conseil de prud’hommes, le juge peut condamner l’employeur à verser au salarié plusieurs indemnités : l’indemnité légale ou conventionnelle de licenciement (si les conditions d’ancienneté sont remplies), l’indemnité compensatrice de préavis (si le préavis n’a pas été exécuté ou payé), et des dommages et intérêts pour licenciement sans cause réelle et sérieuse. Le montant de ces dommages et intérêts est fixé par le juge en fonction de l’ancienneté du salarié, de son âge, de ses difficultés à retrouver un emploi et des circonstances de la rupture, dans le respect des barèmes indicatifs fixés par la loi (article L. 1235-3 du Code du travail). Par ailleurs, si l’employeur a commis des fautes distinctes (par exemple, non-respect de la procédure de consultation des représentants du personnel, violation des règles relatives à l’entretien préalable), des dommages-intérêts supplémentaires peuvent être accordés. - Quels sont les frais d’avocat pour un dossier de licenciement sans cause réelle et sérieuse ?
Les honoraires d’avocat pour un dossier de contestation de licenciement sans cause réelle et sérieuse varient en fonction de plusieurs facteurs, notamment la complexité de l’affaire, le nombre de pièces à analyser, la nécessité de mener des enquêtes ou de solliciter des témoignages, le nombre d’audiences devant le Conseil de prud’hommes et la cour d’appel, et la nature des diligences à accomplir. Après une première analyse de votre situation lors d’un entretien, nous vous proposerons une convention d’honoraires claire et transparente, précisant les modalités de facturation (honoraires au forfait, honoraires au temps passé, honoraires de résultat, ou une combinaison de ces modalités).
En cas de licenciement que vous estimez injustifié, il est essentiel de ne pas rester isolé et d’agir rapidement. Faire appel à un avocat expérimenté en droit du travail se révèle souvent déterminant pour obtenir une indemnisation juste et faire valoir vos droits.
N’attendez plus pour prendre les mesures indispensables : de la phase amiable de négociation avec votre employeur à la saisine du Conseil de prud’hommes, chaque étape est importante. Recevoir une lettre de licenciement ne signifie pas que vous devez accepter passivement une décision que vous jugez infondée. En étudiant attentivement les motifs invoqués et la procédure suivie par votre employeur, nous pourrons identifier les éventuelles irrégularités et construire un dossier solide en vue de négocier une transaction favorable ou de saisir la justice pour obtenir la meilleure décision possible.
Faites le choix de l’expérience, de la compétence et de la détermination : le Cabinet d’Avocats Avi Bitton Associés met tout en œuvre pour faire respecter vos droits et pour que le licenciement sans cause réelle et sérieuse dont vous êtes victime soit reconnu et indemnisé de manière équitable.
Reprenez le contrôle de votre situation professionnelle et défendez-vous efficacement face à un employeur qui n’aurait pas respecté ses obligations légales lors de la rupture de votre contrat de travail.
Nos premiers conseils
Plus vous consultez un Avocat rapidement, plus vous serez en position de force pour négocier votre départ.
Ne rien signer sans avoir pris conseil auprès d’un Avocat (avenant, évaluation annuelle négative, …)
Ne pas vous plaindre de harcèlement ou de discrimination sans avoir pris conseil auprès d’un Avocat
Ne pas attendre de recevoir une convocation à l’entretien de licenciement pour ensuite consulter un Avocat
Des avocats pour gagner face à votre employeur
Notre cabinet d’avocats a fait condamner, entre autres, les banques Natixis et Caisse d’Epargne, des sociétés des groupes LVMH, L’Oréal, Essilor, Abercrombie, Amazon, Eiffage, Veolia, Atos, Auchan…
Cadres conseillés et défendus
De la négociation amiable au contentieux
Ans d'expériences
Presse, Actus & Faits d’armes
Cabinet Avi Bitton Avocats & Associés
Licenciement
- « Altice : une dirigeante suspendue en France, après l'enquête pour corruption ouverte au Portugal » , Le Figaro, 3 août 2023.
- « Cadres : licenciement ou rupture conventionnelle ? » , La Tribune, 8 septembre 2022.
- « Chez Eiffage, une jeune femme harcelée et licenciée à cause de sa grossesse » , L’informé 21 nov. 2022.
- « SFR offre à sa vendeuse une croisière … puis la licencie pour y avoir fumé le narguilé » , L’informé 23 déc. 2022.
- « Avocates enceintes puis licenciées d’EY : « ils ont réussi à me faire culpabiliser d’avoir un enfant » , Libération 15 mars 2022.
- « Peut-on se plaindre de son travail dans sa messagerie interne ? » , RMC 10 juin 2021.
- « Un ancien salarié licencié d’Amazon fait saisir les comptes du géant du numérique » , Le Figaro 8 janvier 2021.
- « Un ancien salarié licencié d’Amazon fait saisir les comptes du géant du numérique » , Le Figaro 8 janvier 2021.
- « Amazon : un « gilet jaune » de Saran, licencié pour faute grave, obtient gain de cause devant les prud’hommes » , France Info, 19 octobre 2020.
- « Amazon condamné pour avoir viré un salarié Gilet jaune appelant au blocage » , Le Parisien, 20 octobre 2020.
- « Amazon condamné pour le licenciement d’un salarié ayant soutenu les gilets jaunes » , Libération, 20 octobre 2020.
- « Des salariés d’Amazon ont-ils été licenciés pour avoir affiché leur soutien aux gilets jaunes ? » , Libération, 20 février 2019.
- « Recours d’un gilet jaune employé d’Amazon licencié pour avoir appelé au blocage de l’entreprise » , Europe 1, 19 février 2019.
- « Amazon licencie des salariés ayant affiché leur soutien aux gilets jaunes » , Radio France International, 4 février 2019.
- « Le CRIPS solde les crispations », Canard enchainé, 7 décembre 2016.
- « A-t-elle été licenciée parce-qu’elle était fille de harki ? », La Montagne, 30 mai 2016.
- « Du rififi à l’Institut Curie », L’Express, 21 mai 2015.
- « Deux ans après son licenciement’, il touche 662 000 euros – Avi Bitton Avocat » (version PDF), Le Parisien, 25 décembre 2014.
- « Essilor condamné aux prud’hommes – Cabinet Avi Bitton », Le Figaro, 24 décembre 2014.
- « Cabinets Denton et Salans : fusion ou non ? », Dalloz Actualités, 27 mai 2015.
- « Dentons hit with 60 000 Euro Damages in French employment case », The Lawyer, 12 mai 2015
- Discrimination au retour du congé maternité – Harcèlement moral – Licenciement abusif : condamnation d’une société du groupe Eiffage pour harcèlement moral d’une cadre et discrimination au retour du congé maternité et versement d’indemnités pour licenciement nul (arrêt Cour d’appel de Paris, 27 octobre 2022)
- Licenciement abusif – Cadre de banque : condamnation de la Caisse d’Epargne Ile-de-France Paris pour licenciement abusif d’un cadre et versement d’heures supplémentaires après annulation du forfait jours (arrêt de la Cour d’appel de Paris, 24 mars 2022)
- Licenciement – Harcèlement moral : condamnation d’une société du groupe Auchan à verser plus de 200 000 Euros d’indemnités à une cadre victime de harcèlement moral et licenciement nul (arrêt de la Cour d’appel de Paris, 28 oct. 2021)
- Licenciement pour inaptitude : condamnation d’une SSII (ESN) pour licenciement abusif en raison de la violation par l’employeur de son obligation de reclassement (jugement du Conseil de prud’hommes d’Argenteuil, 8 juin 2021)
- Licenciement abusif : condamnation d’une société ayant licencié une salariée pour « insuffisance et insatisfaction professionnelle » en l’absence de preuves de reproches antérieurs au licenciement (arrêt Cour d’appel de Paris, 3 juin 2021)
- Licenciement pour faute grave : nullité du licenciement prononcé contre le salarié qui avait agi en justice et condamnation d’une fédération sportive à verser des dommages et intérêts (arrêt de la Cour d’appel de Versailles, 28 octobre 2020)
- Licenciement pour inaptitude : condamnation d’une grande entreprise de prêt-à-porter pour licenciement abusif (jugement du Conseil de Prud’hommes de Paris, 14 octobre 2020)
- Licenciement pour faute grave : condamnation de la société Amazon pour licenciement abusif d’un salarié qui avait appelé au blocage d’un entrepôt (jugement du conseil de prud’hommes d’Orléans, 19 octobre 2020)
- Licenciement économique – non-respect de la priorité de réembauche : condamnation d’une fondation à verser des indemnités à un salarié pour non-respect de la priorité de ré-embauchage à la suite d’un licenciement pour motif économique (arrêt de la Cour d’appel de Paris, 27 novembre 2019)
- Licenciement pour motif économique : condamnation d’une société d’édition à verser des indemnités au salarié pour violation de l’obligation de reclassement dans le cadre d’un licenciement économique (Cour d’appel de Paris, 21 mai 2019)
- Licenciement pour faute : condamnation d’une grande entreprise de BTP à verser des indemnités à un salarié pour licenciement sans cause réelle et sérieuse (jugement du Conseil de prud’hommes de Paris, 18 octobre 2018)
- Licenciement pour faute lourde : requalification du licenciement pour faute lourde (détournement de clientèle et usage abusif du téléphone portable) en licenciement sans cause réelle et sérieuse et condamnation de l’employeur à verser des dommages et intérêts au salarié (arrêt de la Cour d’Appel de Versailles, 14 décembre 2017)
- Harcèlement moral et licenciement pour faute grave : condamnation d’une société à verser des dommages et intérêts pour licenciement sans cause réelle et sérieuse, licenciement vexatoire, harcèlement moral et manquement à l’obligation de sécurité (Conseil de Prud’hommes de Bobigny, 8 septembre 2017)
- Licenciement pour insuffisance professionnelle : condamnation d’une société à verser des dommages et intérêts pour licenciement sans cause réelle et sérieuse, un rappel de salaire variable sur objectifs et des dommages et intérêts pour nullité de la convention de forfait jours (Conseil de Prud’hommes de Boulogne-Billancourt, 11 janvier 2018)
- Licenciement d’un salarié protégé : refus d’autorisation de licencier un représentant du personnel dans le cadre d’un licenciement économique collectif (décision de l’Inspection du travail des Hauts-de-Seine, 2 janvier 2018)
- Licenciement pour cause réelle et sérieuse : condamnation d’une grande entreprise de luxe à verser des dommages et intérêts pour licenciement sans cause réelle et sérieuse, car motivé par une insuffisance de résultats alors que les objectifs étaient irréalisables (arrêt de la Cour d’appel de Paris, 19 septembre 2017)
- Licenciement pour insuffisances professionnelles : condamnation d’une SSII à verser des dommages-intérêts à un cadre pour licenciement sans cause réelle et sérieuse et des rappels de salaire variable sur objectifs (arrêt de la Cour d’appel de Versailles, 20 décembre 2016)
- Licenciement pour inaptitude : condamnation d’une grande entreprise dans le secteur de l’immobilier à verser des dommages et intérêts au salarié pour manquement de l’employeur à son obligation de rechercher un reclassement avant de prononcer le licenciement (arrêt de la Cour d’appel de Paris, 18 juin 2015)
- Licenciement salarié protégé : annulation d’une autorisation de licenciement de l’inspecteur du travail envers un salarié protégé pour défaut de motivation (décision du Ministre du travail du 13 novembre 2015)
- Licenciement économique collectif (PSE – plan social) : injonction à l’employeur de communiquer le registre du personnel pour contrôler l’exécution de son obligation de reclassement (ordonnance du Conseil de Prud’hommes de Paris, 21 mai 2015)
- Licenciement délégué du personnel : annulation d’une autorisation de licenciement de l’inspecteur du travail envers un délégué du personnel pour défaut de motivation (décision du Ministre du travail du 23 octobre 2015)
- Licenciement sans cause réelle et sérieuse : condamnation d’un cabinet d’avocats international ayant licencié un salarié pour des motifs non datés et imprécis (jugement du Conseil de Prud’hommes d’Evry, 6 mai 2014)
- Licenciement pour inaptitude : condamnation d’une société de prêt-à-porter pour manquement à l’obligation de reclassement d’un salarié déclaré inapte (arrêt de la Cour d’appel de Versailles, 19 juin 2014)
- Licenciement pour motif personnel : condamnation d’un cabinet d’avocats pour licenciement abusif (jugement du Conseil de Prud’hommes de Boulogne-Billancourt, 17 décembre 2013)
- Licenciement économique : condamnation pour licenciement sans cause réelle et sérieuse (arrêt de la Cour d’appel de Paris, 11 février 2014)
- Licenciement pour insuffisances professionnelles : condamnation d’une SSII pour licenciement sans cause réelle et sérieuse et non-paiement des primes d’objectifs (jugement du Conseil de Prud’hommes de Nanterre, 6 juin 2013)
- Licenciement pour faute : condamnation d’un laboratoire pharmaceutique pour licenciement sans cause réelle et sérieuse et absence de visites médicales périodiques et de reprise, et versement de dommages et intérêts au salarié (jugement du Conseil de Prud’hommes de Nanterre, 8 octobre 2012)
- Licenciement pour motif personnel : condamnation d’une société informatique pour licenciement sans cause réelle et sérieuse et versement de dommages et intérêts au salarié (jugement du Conseil de Prud’hommes de Boulogne, 30 juillet 2012)
- Licenciement économique : condamnation d’une société de conseil pour licenciement sans cause réelle et sérieuse et versement de dommages et intérêts et remboursement de frais d’avocat exposés par le salarié (arrêt de la Cour d’appel de Paris, 5 juin 2012)
- Licenciement économique : condamnation d’une entreprise industrielle pour licenciement sans cause réelle et sérieuse et versement de dommages et intérêts et remboursement de frais d’avocat exposés par le salarié (jugement du Conseil de Prud’hommes de Meaux, 23 avril 2012)
- Licenciement pour faute : condamnation d’un grand laboratoire pharmaceutique pour licenciement sans cause réelle et sérieuse (jugement du Conseil de Prud’hommes de Nanterre, 2 avril 2010)
- Licenciement économique : condamnation d’une entreprise industrielle pour licenciement sans cause réelle et sérieuse et requalification de CDD en CDI (arrêt de la Cour d’Appel de Versailles, 7 avril 2011)
- Congé maternité : condamnation d’un grand fabricant de luxe pour licenciement nul d’une salariée au retour de son congé maternité (jugement du Conseil de Prud’hommes de Paris, 6 mai 2010)
- Licenciement pour inaptitude : condamnation d’une entreprise industrielle pour absence de reclassement d’un salarié inapte (arrêt de la Cour d’appel de Paris, 25 février 2010)
- Licenciement pour faute grave : condamnation d’une SSII pour licenciement sans cause réelle et sérieuse (jugement du Conseil de Prud’hommes de Boulogne, 11 mars 2010)
- Licenciement abusif : condamnation d’une société de production audiovisuelle à des dommages et intérêts pour délivrance tardive de l’attestation ASSEDIC au salarié (arrêt de la Cour d’appel de Paris, 18 décembre 2008)
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Avocat en droit du travail
Le cabinet Avi Bitton Avocats & Associés intervient dans toute la région parisienne, à savoir dans les départements et les barreaux de Paris (75), de Seine-et-Marne (77), des Yvelines (78), de l’Essone (91), des Hauts-de-Seine (92), de Seine-Saint-Denis (93), du Val-de-Marne (94) et du Val-d’Oise (95). Le cabinet plaide régulièrement des affaires devant le Conseil de prud’hommes, le tribunal de grande instance (juge des référés) et le tribunal correctionnel (droit pénal du travail) à Paris, Créteil, Bobigny, Nanterre, Boulogne, Evry, Longjumeau, Montmorency, Versailles, Meaux et Melun.
Le licenciement sans cause réelle et sérieuse peut survenir dans de nombreuses situations : insuffisance professionnelle mal établie, harcèlement moral déguisé, simple divergence de vues entre l’employé et son entreprise, ou encore une faute non prouvée. Dans tous les cas, lorsqu’un employeur décide de licencier un salarié sans respecter les dispositions impératives du Code du travail, il s’expose à une contestation de la légitimité de sa décision devant le Conseil de prud’hommes. Si vous estimez que les motifs invoqués (faute grave, insuffisance de résultat, etc.) ne sont pas fondés ou qu’ils constituent une atteinte injuste à vos droits, le Cabinet d’Avocats Avi Bitton Associés est là pour vous accompagner.
Fort de plus de 20 ans d’expérience en droit social et ayant traité plus de 4000 dossiers, notre équipe de 12 avocats et juristes vous propose un accompagnement complet dans la défense de vos intérêts. Nous intervenons auprès de cadres, cadres supérieurs, dirigeants et salariés qui subissent un licenciement que nous estimons dépourvu de cause réelle et sérieuse dans des grandes villes comme Paris, Lyon, Bordeaux, ainsi que partout en France. Nous savons combien il est stressant et complexe de recevoir une lettre de licenciement dont les motifs vous semblent infondés. Notre priorité est d’évaluer rapidement la situation, de vous informer clairement sur vos droits et de construire une stratégie solide pour obtenir la meilleure indemnisation possible.